mercredi, février 07, 2007

je suis un homme!


non non non je ne fais pas un crise de Polnareffite aigüe qui du fin fond des 70s nous criait sa virilité, le cul à l'air sur les autobus de la ERATEUPEU. Tiens parlons-en de Polna puisqu'il est d'actualité, enfin il fait l'actualité, enfin on en cause. Faut-tu (québécisme, ça déteint j'vous dis) que l'imperturbable Rocancourt l'aie escroqué de bien des biffetons pour que lunettes de mouche et moumoutte crépue il s'extirpe de son Hummer et de son treilli pour revenir brûler les planches françaises. Il a pu compter sur l'effet de manque et de mystère pour remplir 10 Bercy, à défaut d'inspiration, à en juger par l'absence de nouvel album et le niveau de son maigre single relâché à la Toussaint 2006 (mortel...). Un savant recyclage de la discographie d'Illona et des Musclés, Ophélie flagrant des lits donne l'envie irrestible de prévenir le fisc français du retour de Michou. Marilou doit s'écrier Leave me, please leave me...

Pas facile de faire son entrée dans le showbiz, encore plus dur de réussir sa sortie. On aurait du lui conseiller la conduite à vive allure sur les route californiennes, l'abus de somnifère ou le bricolage électrique les pieds dans la baignoire pleine... C'est ainsi que la légende résiste aux lézardes.

Je suis un homme, c'est la toune que je préfère sur le dernier Zazie. Pas convaincu par Rodeo, faible en mot trouvais-je, costaud en tournée heureusement. Mais là, j'accroche, je plane, je vibre les souliers dans la neige. Chapeau Apple! iPod fonctionne par -20 (ressenti - 36, comme lundi dernier). Les fils d'écouteurs au garde-à-vous, raides comme le fer, difficile de faire le tenir le son dans les oreilles sans la tuque (indispensable de toute façon).

Ce qui est le fun par cette température, c'est que l'eau de l'oeil (oui par grand froid je passe larmes à gauche...) gèle et colle les cils... hi hi ça m'amuse (m'en faut peu). T'as la goutte au nez qui gèle aussi, paraît qu'il ne faut pas se pincer les n
arines sinon elles restent collées... Bref, moi j'aime ça.

La prochaine fois je vous conterai à quel point il est compliqué d'être un sex-symbol.

Au plaisir.




11 commentaires:

Alcib a dit...

Je partage tout à fait le constat de ta dernière phrase ;o))

Anonyme a dit...

Il est dur quand même avec le Pascal! Ce dernier a l'air d'un con maintenant avec sa fan attitude! (héhéhé)

Anonyme a dit...

Je hais Polnareff

Alban a dit...

En effet, ferais bien d'en finir, Polnareff. Ca doit être une expérience bien amusante cette histoire de narines et cils collants!!!

Anonyme a dit...

il en faut pour tous les gouts..Polnareff ça représente quand même une époque même si elle est révolue..mais Zazie j'aime bien aussi...
fais gaffe à ton nez quand même...faudrait pas que tu deviennes un gars de la narine ;-)
bisoussss

Anonyme a dit...

hum hum il nous fait une crise de mégalomanie aigüe le Polna... c'est ça de vivre trop longtemps aux US.
Et c'est intriguant, que pourront voir les musiciens et autres techniciens qui soit si extraordinaire ?

Anonyme a dit...

Oh c'est beau le vert anis !

Anonyme a dit...

Pfiou Quelle critique éreintante pour ce vieux Polnareff !
Pourtant il n'est pas le seul à ne pas savoir décrocher avant que les trémolos sénescents ne le poussent dans la fosse.
Heu, fait gaffe aussi de ne pas péter par grand froid, certains gaz ont tendance à se liquéfier ...^^
Vivement le prochain N°, pour les détails croustillants d'un sex-symbol ... (c'est de toi qu'il s'agit, non ?).

Anonyme a dit...

Quel personnage horrifiant que Polnareff ! Mais j'aime par contre quelques une de ses chansons.

Anonyme a dit...

Aimerais bien la voir ta tuque...

Anonyme a dit...

Bon article, très interressant, je vous félicite vivement pour votre blog.
je vous souhaite une bonne continuation et longue vie à votre site
à bientôt

frank